La citation du vendredi s’accompagne de nouveau d’un article : enfin je prends le temps de vous parler du programme Weight Watchers, depuis le temps que je vous le promets !

Alors déjà, sachez que je ne suis en aucun cas sponsorisée par la marque hein, tout ce que je vais vous livrer ici, ça vient de moi et rien que de moi, et si j’en dis autant de bien, c’est surtout parce que des régimes, j’en ai fait des tas, beaucoup trop même, et que j’ai toujours fini par reprendre tout le poids perdu, si ce n’est plus.

À mon sens, WW, c’est plus un rééquilibrage alimentaire qu’un régime, ça permet d’apprendre à mieux manger. Pour preuve, il n’y a aucun interdit, et heureusement, car pour la gourmande que je suis, impossible à tenir sinon. Et puis, comment je pourrai partager de bonnes recettes avec vous, si j’avais des tas d’interdits ? 

Le concept peut paraître compliqué au premier abord, mais vraiment, c’est une question d’habitude, et finalement, il n’y a rien de difficile dedans : chaque aliment a une valeur en points, qui s’appellent des Smart Points (SP) ; on a un quota de points à respecter chaque jour. Son nombre varie selon l’âge, le sexe, le poids à perdre, l’activité, etc. Il y a également une réserve hebdomadaire pour les petits écarts, les sorties, etc. On peut également cumuler des points d’activité, en fonction du sport que l’on peut faire.

Par exemple, moi, j’ai droit à 52 points par jour + 35 points de réserve hebdomadaires. C’est beaucoup, mais c’est parce que je suis le programme option allaitement exclusif, vu que j’allaite ma fille sans aucun biberon, du coup, j’ai plus de points que si je faisais un allaitement mixte (avec biberon donc) ou pas d’allaitement du tout. Mon quota se recalculera à ce moment là.

Dans ce programme, tous les fruits et légumes, à l’exception de l’avocat, ne valent aucun point. Hé oui, ça nous encourage à en manger davantage en cas de petit creux. Les aliments riches en protéines valent peu de points, car ils sont rassasiants ; les produits sucrés, transformés, industriels, etc, eux, coûtent plus de points, car ils sont évidemment moins bons pour la santé.

Évidemment, au début, il faut peser les aliments, pour bien noter les quantités que l’on mange. Avec le temps, on arrive à estimer les proportions. Et mine de rien, c’est en pesant que l’on se rend compte que l’on mange trop. Hé oui, c’est mon problème, comme celui de beaucoup de monde je pense, ce sont les quantités. Maintenant, je mange moins, et ça me va, je n’ai pas faim pour autant, mon corps s’est habitué.

J’ai aussi et surtout changé ma façon de manger. Je mange davantage de fruits et légumes, je ne fais plus les mêmes choix de yaourts par exemple : les crèmes au chocolat de chéri, c’est 8 points, ouch, alors que mon yaourt nature, c’est seulement 2, et les Sveltesse à la vanille ou au citron que j’adore, 1 seul, donc on change les habitudes, et on garde la crème au chocolat pour les jours où on a mangé léger, c’est mieux.

On mange également plus de produits de la mer, parce que c’est bon, rassasiant, et que ça ne vaut pas trop de points non plus, on redécouvre les légumes secs, je me remets doucement à cuisiner, même des plats simples. Finalement, on varie notre alimentation, nos repas, on mange des choses que l’on n’avait pas forcément l’habitude de manger, on se fait plaisir tout en respectant un certain équilibre, et au final, ça marche 🙂

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Source image : compte Instagram de Fourchette et Bikini